Bonsoir Laxmimittal
Pas de condensation sur la tente intérieure, mais bizarrement à la fin de la seconde nuit la doudoune était trempée sur l'extérieur, l'évaporation de la chaleur corporelle ayant condensé sur le tissu (rien de tout cela lors de la première nuit à peine plus froide, peut-être une hygrométrie différente lors de la deuxième).
C’est normal, à ces températures le point de condensation se situe juste à la surface de la doudoune ou de ton duvet. Ce qui est problématique voir pire si c’est dans le duvet lui même. Le « mieux » ou le moins pire est que ça givre en surface mais il faut qu’il face un peu plus froid.
L’hiver on a jamais de condensation sur la toile de tente ou alors du givre.
]]>Pas de condensation sur la tente intérieure, mais bizarrement à la fin de la seconde nuit la doudoune était trempée sur l'extérieur, l'évaporation de la chaleur corporelle ayant condensé sur le tissu (rien de tout cela lors de la première nuit à peine plus froide, peut-être une hygrométrie différente lors de la deuxième).
]]>une petite question. as-tu eu de la condensation dans la chambre intérieure de la Akto ?
L.
]]>Tomi, ça a donné quoi ta nuit dans la neige et avec quel matos ??
Après hésitations j'ai finalement laissé ma couette Cumulus (chargée à 350 grammes de duvet) à la maison.
J'ai donc dormi dans une Akto (Hilleberg) complète, c'est-à-dire double toit, chambre intérieure et "footprint" dédié (dans les 1,8 kilo l'ensemble).
Matelas Ridgerest épais (Solar ou Solite, je ne sais jamais, épaisseur 2 centimètres, recoupé dans la longueur et d'un peu moins de 300 grammes du coup).
Quilt Triple Zéro chargé à 230 grammes (500 grammes de poids total).
Sur moi, chaussettes merino légères, combinaison fine en merino, doudoune sans capuche à 60 grammes de duvet.
Sur le quilt, en lieu et place de la couette Cumulus initialement prévue, j'ai posé une doudoune chargée à 240 grammes de duvet (plus que le quilt donc).
Sur la tête, puisque le quilt n'a pas de capuche, bonnet merino épais la première nuit, et cagoule synthétique la seconde.
C'était une première utilisation et donc un genre de test pour le quilt et la tente complète; quilt acquis il y a quelques mois et seulement utilisé à la maison, tente achetée d'occasion il y a plusieurs années et plus souvent prêtée que servie et en tout cas jamais dans cette configuration (complète et en hiver).
J'ai noté une différence de température sensible entre la chambre intérieure que j'utilisais pour la première fois d'ailleurs, et l'abside.
Deux nuits très douces vu l'altitude -2100 mètres- et la période.
Sous la tente : -2 à -3 degrés la première nuit, -1 degré la seconde.
Ecart faible entre les deux mais seconde nuit plus confort que la première (l'acclimatation sûrement , ou le fait de ne pas avoir bu de jaja le second soir); je me suis réveillé moins souvent la deuxième nuit.
Donc, équipement limite pour ces températures pourtant "clémentes", toujours comparativement à l'altitude et à la saison.
Je n'aurais pas eu la grosse doudoune d'hiver posée sur le quilt, j'aurais très mal ou très peu dormi.
edit : orthographe
]]>Que fait la police ?
Une petite pause discretos... ou pas
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Le Vignemale prend déjà le soleil
Après le chaussage des crampons
Quelques langues traînent sur la neige
Le vallon du refuge de Baysselance
Sonic déboule à la hourquette d'Ossoue (de l'air, de l'air !)
Petit Vignemale : vue au nord vers le lac de Gaube
Massif du Mont Perdu/Gavarnie depuis le sommet
Vue vers l'ouest : Pique Longue à gauche, Balaïtous au centre
La troupe à la hourquette
Que fait la police ?
Lundi, refuge et Vignemale depuis la tente
Dernier coup d'œil sur le Vignemale
Depuis le lac de Gaube, le Petit Vignemale au centre haut de la photo
Edit : orthographe
]]>Non mais vous n'avez pas compris, Naxh va en chier toute sa vie, elle a les jambes et les poumons trop petits !
Surtout que ce n'est pas vrai, je ne l'ai pas entendu souffler une seule fois et elle grimpe très bien, ça manque juste un peu de technique (surtout pour descendre)
]]>Merci également pour vos messages d'encouragement. C'est clair qu'avec l'entraînement, ça vient petit à petit. Quand je repense à mes randos d'il y a un, deux, trois ans, je me rends bien compte de l'évolution. C'est appréciable mais bon, j'ai quand même toujours l'impression d'être un bon boulet !
Merci Highpictv et Luccio pour vos compléments d'infos et de photos
Je tiens à préciser, qu'en effet, ce jour là, le col recula !!
Vilain !
Non mais vous n'avez pas compris, Naxh va en chier toute sa vie, elle a les jambes et les poumons trop petits !
Mais c'est fini oui ?!!! tss tss tss
]]>votre virée fait bien envie;
je compatis avec naxh.
Courage, finalement tu vois, tu y arrive à chaque fois
Bonne année à tous ;
L.
]]>Merci pour ce super récit et les photos, ça fait plaisir de voir des MULs en pleine action
Je ne connais pas l'itinéraire par le vallon de Pouey Trenous, ça passe comment, pas trop raide au niveau du col Peyrot ?
Hello
Qq photos supplémentaires du haut du vallon de Pouey Trenous :
Panoramique du haut du vallon. La brêche Peyrot est sur la partie de gauche
Couloir de neige emprunté (max 30° je dirais)
Dans la pente
Le haut du couloir
Ligne de crête. La brêche Peyrot est tout à droite en fait (mauvais cadrage )
Vu depuis la brêche !
C'est pas mon dada, va falloir qu'un jour je me frotte à la vrai neige glacée avec des crampons.
J'en ai bouffé l'été, mais on avait pas besoins des pointes, la neige était molle.
En attendant je vois que vous vous êtes éclatés !!
Tomi, ça a donné quoi ta nuit dans la neige et avec quel matos ??
]]>Comme l’a dit Naxh, notre petit groupe est allé visiter le vallon de Pouey trenous. Après avoir longé le gave de Marcadeau jusqu’au pont de cayan, nous attaquons une rude montée pour atteindre le vallon et nous diriger vers le col de Peyrot.
Faby ayant un peu la pression du fait d’une ancienne douleur au genou, d’une longue période sans montagne et des 3 gars qui galopaient devant, a un peu perdu le moral. Du coup j’ai préféré lui proposer de faire demi-tour. Mais cela faisait beaucoup de descente-remontée alors que le lac de Gaube était tout proche, de l’autre côté de la crête.
Cela tombait bien, la carte indiquait juste en face de nous un petit col au nom attirant : col de la Coste Ardoune, tout un programme Juste 200 m de d+ dans un bon terrain à isards. Le sanglier pouvait enfin s’exprimer
Du col, descente tout droit vers le lac en crampons sur neige et terre gelée : rapide et efficace et bonne nouvelle l’essuie-glace du genou de faby semble avoir disparu.
Il ne reste plus que la longue remontée vers le refuge mais sur un chemin plus facile.
Le reste, Naxh vous l’a raconté : une belle rando avec des MUL bien sympas comme d’hab
L’itineraire
Le vallon de Pouey trenous
Vers le col de la coste ardoune
Au col
La descente vers le lac vue du haut (je n’arrive pas à poster la photo droite )
Vue du bas
Sur le lac gelé (la tête en bas )
Bravo pour cette sortie de fin d'année.
Courage et ténacité Naxh dans quelques années d'entraînements tu les monteras les 3000 sans même t'en rendre compte
Jolies photos mais peu de neige en effet.
Pour bientôt nous ne sommes qu'au début de l'hiver.
]]>Et dommage que la montagne soit si loin d'ici...Et il faudrait attendre l'été prochain pour y retourner?!
Mais quel dommage aussi de n'avoir pas saisi cette occasion unique...
martie
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