Bonjour , pour info
il existe d'autres formes d'organisation (selon d'autres règles juridiques) que l'association 1901, selon les objectifs poursuivis et les moyens mis en oeuvre.
«
Attention tout de même. Il me semble que, au travers du code du sport, l'association loi 1901 soit quasiment la seule forme d'organisation - hormi pour l'encadrement des professionnels - acceptable.
En tout cas, si à un moment il est souhaité une affiliation à une fédération style FCAF ou FFME, par exemple pour bénéficier d'avantages ou des formations fédérales, je crois bien que seul le statut d'assoc loi 1901 le permettra.
]]>Je vois que pas mal d'objectifs définis en début du fil, et qui concernaient la promotion de la démarche "légèreté" ont déjà été atteints, notamment par
- le référencement sur Google
- les articles dans "Carnets d'aventure"
Reste peut-être à relancer Wikipedia ?
Par ailleurs, on a vu se multiplier les randonnées de MULs, et cela crée des liens!
HighPicTV a organisé des sorties "didactiques" en montagne, tout-à-fait dans le cadre de ses compétences.
Et puis, d'autres objectifs sont apparus entre-temps.
D'autres raisons de s'associer d'une manière plus formelle ...
Ce projet d'une association de membres "actifs" répartis aux quatre coins du monde, de personnes qui ont appris à se connaître avant de se rencontrer pour de vrai, par la grâce de l'internet ... ce projet a toute ma sympathie!
Partant.
]]>- Les coopératives (Article 1er de la loi N° 47-1775 DU 10 SEPTEMBRE 1947, portant statut de la coopération, modifiée :
"Les coopératives sont des sociétés dont les objets essentiels sont:
1. De réduire, au bénéfice de leurs membres et par l'effort commun de ceux-ci, le prix de revient et, le cas échéant, le prix de vente de certains produits ou de certains services, en assurant les fonctions des entrepreneurs ou intermédiaires dont la rémunération grèverait ce prix de revient;
2. D'améliorer la qualité marchande des produits fournis à leurs membres ou de ceux produits par ces derniers et livrés aux consommateurs;
3. (Loi n° 92-643 du 13 juillet 1992, art.1er) "Et plus généralement de contribuer à la satisfaction des besoins et à la promotion des activités sociales et économiques de leurs membres ainsi qu'à leur formation."
Les coopératives exercent leur action dans toutes les branches de l'activité humaine" .
- La Société Coopérative d'Intérêt Collectif (Scic) , nouvelle forme d'entreprise coopérative qui concrétise l'avènement de la coopération en multi-stakeholders (multisociétariat):
1. Permet d'associer autour du même projet des acteurs multiples : salariés, bénévoles, usagers, collectivités publiques, entreprises, associations, particuliers... tous types de bénéficiaires et de personnes intéressées à titres divers ;
Produit des biens ou services qui répondent aux besoins collectifs d'un territoire par la meilleure mobilisation possible de ses ressources économiques et sociales ;
2. Respecte les règles coopératives : répartition du pouvoir sur la base du principe 1 personne = 1 voix, implication de tous les associés à la vie de l'entreprise et aux décisions de gestion, maintien des résultats dans l'entreprise sous forme de réserves impartageables qui en garantissent l'autonomie et la pérennité ;
3. A un statut de société commerciale SA ou Sarl
4. S'inscrit dans une logique de développement local et durable, est ancrée dans un territoire, et favorise l'action de proximité et le maillage des acteurs d'un même bassin d'emploi ;
5. Présente un intérêt collectif et un caractère d'utilité sociale garanti par sa vocation intrinsèque d'organiser, entre acteurs de tous horizons, une pratique de dialogue, de débat démocratique, de formation à la citoyenneté, de prise de décision collective... et par sa vocation d'organisme à but non lucratif.
« L'art de la réussite, c'est de l'audace et de la prudence », disait Napoléon
]]>Donc :
Quoi?
Pourquoi ?
dans quel but?
Quand ?
Comment ?
où?
... pourquoi moi ?
Avant d'en discuter dans un espace de discussion restreint, comme le propose Olivier, j'avais pensé qu'une telle association pourrait comporter 2 niveaux de cotisation :
- une cotisation classique
- une surcotisation "prêt de matériel"
Il s'agirait que l'assoc possède quelques tarps, tentes monoparoi (type tarptent d'Henri shires ou abris d'Olivier), ponchos, quilts, matelas, sacs à dos, hamacs.
Ceux qui prendraient cette surcotisation "prêt de matériel" pourraient tester un type de matériel avant d'acheter. Essayer un tarp ou un hamac pour savoir si cela leur convient ou non.
Cela permettrait aussi de randonner sur plusieurs jours sans avoir à tout acheter d'un seul coup, pour ceux qui débutent.
Dans mon idée, il ne s'agit pas que l'association dispose du top du matériel, ni de tous les types de tarps existants, mais bien d'un peu de matos permettant pour un débutant de valider le concept.
C'est plutôt : dormir dans un hamac, l'idée me plait bien, mais je voudrais essayer avant d'investir.
Plutôt que : je vais pouvoir tester et comparer les 50 hamacs différents qui existent.
Que pensez vous de ce concept (sans parler des difficultés inhérentes, liées par exemple aux modalités de prêt compte tenu de la dispersion des membres dans toute la France, voire plus loin).
Pour être clair, personnellement je en serai pas intéressé par ce "prê de matériel", car je dispose déjà de tout mon matos.
]]>Edit: mise en gras
]]>les ressources peuvent venir
* d'une activité économique (la différence avec une société est que les bénéfices ne peuvent être distribués directement ou indirectement)
* de subventions
* de cotisations
* de dons ou legs
la cotisation n'est pas une obligation par principe
]]>Je rebondis sur une discussion sur les formations ds fédérations de marche qui bifurque sur les problèmes de responsabilité des encadrants pour déterrer ce fil de discussion.
Voir ici pour le fil mentionné ci avant :
https://www.randonner-leger.org/forum/v … hp?id=7890Les bonnes et mauvaises raisons de créer une asociaiton MUL ont dues être en grande partie listées dans les pages précédentes.
.
Pour un "UP", ça c'est un "UP" !
Mais je te suis à 100% !
Je pense qu'il faudrait envisager une présence au salon de la randonnée :
http://www.randonnee-nature.com/html/
Johanna et Olivier (de Carnets d'Aventure) y seront. Pourquoi pas les MULs ?
C'est bien sur à oli_v_ier d'en décider ...
Ainsi que de l'idée d'une éventuelle cotisation pour participer aux coûts du serveur parce que "cotisation" entraîne quelque part "responsabilité". Les juristes du forum auront sans doute des suggestions.
Mais le forum de la randonnée est assez proche, et c'est une bonne idée d'avoir (ré)ouvert le débat.
]]>Voir ici pour le fil mentionné ci avant :
https://www.randonner-leger.org/forum/v … hp?id=7890
Les bonnes et mauvaises raisons de créer une asociaiton MUL ont dues être en grande partie listées dans les pages précédentes.
Pour réaliser certaines "actions", on peut constater que la création d'une association a été inutile :
- organisation de randos
- faire connaitre la MUL au travers de la presse : articles réguliers dans expemag
Mais nous n'avons peut être pas abordé les raisons qui suivent, si je me base sur les "avantages" dont j'ai pu profiter à la FFME ou au CAF :
- bénéficier de réductions chez certains marchands : 15% au vieux campeur au travers des bons d'achat, 10% à l'IGN, peut être la réduc "guide" chez cilao, etc
- au CAF, 50% pour les nuités dans les refuges CAF
- possibilité d'assurances diverses
- possibilité de s'inscrire aux formations fédérales pour les encadrants : nivologie, sécurité en randonnée, etc
- aide juridique
A titre d'exemple, les cotisations annuelles dans un club CAF peu cher sont données ici :
http://larochebonneville.ffcam.fr/club/ … tiques.php
Avoir en mémoire qu'il y a une part fédérale, ainsi qu'une part "club".
D'autres raisons me viennent également à l'esprit, dont bien entendu la mutualisation des frais d'hébergement du forum supportés par Olivier.
]]>Je fais suite à la remontée du sujet sur les sans abris, n'est ce pas là justement sur l'humain que dois intervenir la création d'une assos ? loin des divergences techniques et du marketing
]]>Par contre je vous invite a lire les jugement publié sur ce site : c'est trés "instructif" et cela montre qu'il faut toujours bien préparer sa rando ... et toujours faire un double assurage du relais (cela revient plusieur fois).
PS: en lisant les jugement j'ai trouvé un exemple ou c'est l'assureur seul qui a porté plainte !!!
Voici le texte, cela illustre parfaitement ce dont je parlais :
Le plus expérimenté de la cordée est déclaré responsable
Cour d'appel de Grenoble- arrêt du 21 octobre 2002
Les faits
Trois alpinistes encore peu expérimentés, mais qui étaient habitués à pratiquer la montagne ensemble, avaient projeté de faire l'ascension de la montagne des Agneaux à partir du refuge du Glacier Blanc, en passant par le glacier Tuckett, qui est barré par une partie rocheuse vers 3100 m d'altitude, d'ordinaire sans difficulté particulière.
Arrivés à cette partie rocheuse, les trois alpinistes prenaient pied sur une terrasse, et sans qu'aucun relais solide n'ait été installé, le premier entreprenait une traversée d'une dizaine de mètres sur la droite pour reconnaître l'itinéraire, tandis que le second l'assurait à l'épaule et le troisième plantait son piolet dans le peu de neige qui se trouvait à proximité.
En raison du verglas, qui recouvrait ce jour là les rochers, le premier décidait de revenir sur ses pas. C'est alors qu'il a glissé en entraînant ses deux compagnons qui n'ont pu enrayer la chute. L'un deux a trouvé la mort et le second fut grièvement blessé.
La procédure
Subrogée dans les droits du second alpiniste blessé qu'elle avait indemnisé, la compagnie d'assurances saisissait le tribunal de Gap, et demandait la condamnation du premier de cordée à réparer l'entier préjudice.
En défense, l'alpiniste mis en cause contestait avoir assumé la responsabilité d'un premier de cordée capable d'assurer seul la sécurité de ses camarades, et faisait valoir qu'il n'avait existé entre eux aucune direction de fait de l'un par rapport aux autres mais une communauté d'action et un partage des risques affrontés.
Ce n'est pas ce qui a été retenu par le tribunal de Gap, confirmé en cela par la cour d'appel de Grenoble, qui a déclaré cet alpiniste seul responsable après avoir rappelé:
"... que si la fonction de premier de cordée n'implique pas nécessairement la responsabilité exclusive de sa direction, particulièrement lorsque, comme en l'espèce, elle est composée d'alpinistes sensiblement de même niveau, il incombait au premier chef, à M..., qui exerçait ce rôle en raison d'une meilleurs expérience des courses de haute montagne et qui effectuait la reconnaissance d'un itinéraire dont il devait apprécier la difficulté en fonction de ses propres compétences, de veiller, avant de s'y engager, à la mise en place d'un relais solide pour s'assurer efficacement en cas de chute et éviter d'entraîner les autres membres de la cordée et, si l'équipement disponible ou la configuration des lieux ne permettaient pas l'installation d'un point d'ancrage sûr, de renoncer à s'y aventurer et de rechercher un autre itinéraire plus accessible; qu'il ne pouvait s'en remettre, à cet égard, au second de la cordée, qui n'a pu effectuer, en l'absence de relais, qu'un assurage symbolique et techniquement inadéquat".
Le probleme ce n'est pas la personne mais son assureur !!! Si il doit payer une invalidité a vie a son client je t'assure qu'il preferera que ce soit toi qui paye.
Peux-t-elle porter plainte si son client ne le fait pas?
Quoiqu'au sujet des assurances pour invalidité, en formule de base, en général elle ne rembourse pas grand chose, quand ce n'est pas rien.
]]>