[Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

xana · 03-10-2020 08:40:21

ya un sacré combo avec : illéou ? iparla !) est plaisant.

j'ai failli te la faire a ton précédent message, ça m'étonnait que tu ne l'ai pas encore faite

Merci pour ton récit vivant au passage

Dernière modification par xana (03-10-2020 08:41:32)

Palteza · 05-10-2020 08:40:12

Jour 17 - Cauterets ? Refuge Hole (Gavarnie) - Beau - Tente au refuge - 11h - 36kms - 2200+ 1500-

La nuit a été plutôt "bonne" et je me prépare le matin sous une température clémente.
Au vu de le proximité des tentes je décide de prendre mon petit-dèj' plus tard en ville, j'épargnerai un peu de bruit de ziplocks supplémentaire.
Me voilà donc parti au centre ville, un peu avant 7h. Quit à déjeuner au milieu des commerces, autant aller voir si les chocos des collègues boulangers sont bonnes ici.
A la 1ère boulangerie, ils ouvrent dans 15min et ne veulent pas servir avant, bien que la came soit déjà sortie du four. Bien dommage, nous on était content de servir des lève-tôt avant l'ouverture. A la 2ème, la vendeuse, bien qu'en train de s'affairer sérieusement, sera heureuse de me servir 2 chocos toutes chaudes, avant l'ouverture toujours
Je vais donc me graisser la bouche sur un banc, en enfilant aussi une bonne dose de muesli crunchy chocolat : les allemandes hier matin m'ont redonné le sens du petit-dèj, merci à elles

Le GR10 offre 2 options depuis Cauterêts : soit par le col de Riou pour redescendre directement vers Luz Saint Sauveur, qui donne donc un gros raccourci, soit par le Lac de Gaube puis Baysselance, qui offre plus de beauté. On a beau aimé avancer vite, on est quand même là aussi pour le cadre ! Et puis par Baysselance on passe par le toit de ce GR10, je me voyais mal rater ça.
Au moment où je me dis que ce matin je vais pas faire d'erreur, je rate le décrochage vers le Pont d'Espagne du GR10 entre les 2 spas, pour rencontrer un peu plus loin un panneau "Riou" ... le petit quart d'heure des familles pour finir de se réveiller !
"Vrai départ" à 8h donc, et je me laisse aller sur le chemin vers La Raillère à quelques arrêts sur les panneaux et longue vue qui donnent une idée de l'aménagement de la montagne effectué au fil du temps. Le passage est sympa.
A la Raillère ce sont surtout les boutiques qui marquent les esprits, mais la suite qui monte vers le Pont d'Espagne enjolive ma matinée : on longe le très vivant Gave du Marcadau et ses jolies chutes.

Je savais le Pont d'Espagne très touristique mais je ne m'attendais pas à voir tant de monde. Ils ont peut-être cru à cause du nom qu'on passait ici en Espagne pour acheter des PS4 pas chères ? ... je percuterai plus loin qu'on est le WE et il fait beau : les gens sortent. On va pas les blâmer de pas rester devant la télé ! Le randonneur est trop honnête
Dans la montée qui va au Lac de Gaube je dois rattraper un groupe toutes les 5mins en moyenne. A la vue du peuple j'ai décidé de passer en mode sportif en me motivant en remontant les groupes un à un. Je m'essaye à prendre le temps d'admirer les lieux qui valent vraiment le coup mais j'ai trop de mal avec cette foule. Amor fati comme dirait l'autre : on profite des belles jambes de la journée pour avancer vite.
Cocasserie, je reprends les 2 jeunes auprès desquels je m'excusais d'avance pour le bruit hier au camping. Il sont partis depuis le Pont d'Espagne.
Arrivé au lac on ne traîne pas trop puisqu'il y a déjà foule, et ça se maintiendra jusqu'au refuge des Oulètes de Gaube.

J'atterris à celui-ci à 12h10, on est rendu à 2151m.
J'essaye de trouver un coin tranquille pour manger un bout, pas évident. Je le trouve à peu près et mange en mettant les pieds dans l'eau très fraîche, en pouvant admirer depuis ici la face Nord du Vignemale.
On refait la réserve d'eau et repart, vers 12h45, avec la cheville et le jambe légères, l'eau a du opérer en sous-main !
Sur le chemin qui mène au point culminant de ce GR10, la Hourquette d'Ossoue, je croiserai déjà beaucoup moins de monde : si vous voulez rester tranquille à la montagne, restez au dessus de 2000 !
Cette montée sera très roulante, je suis surpris, bien plus facile que certains passages déjà empruntés avant moins haut perchés.
Je conserve donc un bon rythme (depuis la presque hypoglycémie je me suis quand même légèrement calmé sur mon rythme "d'attaque") pour gagner à 14h le toit de ce GR10, à 2734m

On prend un bon temps de respiration en haut pour profiter d'une fenêtre sans passage ici.
Pas besoin de chercher longtemps le chemin qui se rend au Petit Vignemale, je vois d'ici des petits groupes gravir les pentes que je devine être les siennes. Même si tout le monde semblait unanime pour dire que le détour valait le coup, je me vois pas y aller avec tous ces gens.
Je suis réconforté dans l'idée après être descendu au refuge de Baysselance quand je vois les nuages gris se former. Je suis trop limite pour dormir ici, je dois descendre. Aucun regret donc, farpait !
Un Orangina au refuge et ça repart.
De ce côté la pente est plus sèche et je suis obligé de pas mal retenir, on descend sur un mélange de terre/petit cailloux : les 900- font mal aux cannes.
On s'amusera à devoir faire le funambule sur les pierres, cette fois en toute précaution , pour traverser un cours d'eau bien vivace.
On croise pas mal de groupes qui vont surement passer la nuit à Baysselance (ou aux Oulètes ?).

Passé le gros de la descente, la vallée des Oulletes d'Ossoue offre un long "replat" qui me mène au barrage d'Ossoue. Ici se tient une cabane, avec un matelas de fortune, de mémoire, mais il est encore assez tôt et surtout la vue sur le parking garni de nombreuses voitures ne me laisse aucun regret.
On passe un petit coup de cul et les forces commencent à s'éloigner.
Je décide un peu plus loin de m'arrêter pour faire une vraie collation. J'aurais bien mangé un poulet mais il n'y a pas de rôtisserie dans le coin on dirait. Tant pis on se console sur ses fidèles provisions.
La petite pause et les calories balancées dans la chaudière font du bien, et on repart un peu mieux.
Ici les marmottes ont trop été habituées à voir passer du monde et c'est à peine si elles viennent vous voir pour venir se faire caresser. On a presque envie de leur jeter des cailloux en leur criant de se reprendre : "si vos ancêtres vous voyaient !!!" ... mais honnêteté du randonneur oblige, il faudrait aussi jeter des cailloux aux randonneurs qui leur laissent à manger, et ce serait dommage de tomber sur un grand plein de muscles. L'honnêteté a ses limites tangibles.

Ils ont décidé de décorer avec des vaches de partout ici, elles au moins restent égales à elles-mêmes ... je sais pas si elles ont la capacité d'un quelconque changement en fait ! Pour le meilleur et pour le pire, dans l'ordre qu'on veut.
Je voudrais bien conclure cette belle journée par un bivouac en pleine nature, mais à partir du moment où je déciderai ça je ne trouverai plus de terrain qui offre un semblant de plat.
Ce n'est pas la cabane des Tousaus, abris de fortune quand même bien utile pour voir s'abattre un orage dehors, qui me fera plus envie.
Une grosse demi-heure plus tard, et n'ayant pas trouvé mon bonheur pourtant pas trop prétentieux, je serai finalement rendu au bout de l'étape de Cicerone, au chalet-refuge la Grange de Holle. On peut y poser la tente dans de bonnes conditions, on restera donc ici après une journée rondement menée, il est 19h. Au moins sur cette journée-ci la douche bien chaude n'aura pas été volée.

S'ensuit une soirée, un non-repas et une nuit des plus classiques que la randonnée peut offrir : le lecteur doit aussi s'habituer au banal !
On était samedi, si vous suivez demain c'est dimanche, et l'éventualité d'aller faire un crochet pour aller voir la jolie Gavarnie s'évapore vite à l'idée du monde que l'on pourra y trouver.
Ça sent la suite du GR10 vers Luz Saint Sauveur !

Dernière modification par Palteza (05-10-2020 14:47:11)

Palteza · 06-10-2020 19:44:10

Jour 18 - Refuge Hole → Luz St Sauveur - Brumeux AM, beau PM - Camping - 8h - 26kms - 700+ 1500-

Dans la nuit ça a du picoler au refuge, et dans la ferveur et la chaleur de l'alcool ils sont sortis et tapent la causette quasiment collés à ma tente ... et trop fort ! Peut-être un peu de sève espagnole si on remonte l'arbre ? A n'en point douter ! Ils sont pas méchants, juste contents d'être là, et seront tout gênés quand je leur ""signalerai"" qu'il y a des limites au bonheur sonore.
Sinon la nuit a été plutôt bonne et au levé un brouillard épais et mouillant nous dit bonjour.
Le temps qui n'incite donc pas à la flânerie finit de me convaincre de continuer le GR10 direction Luz Saint Sauveur. On n'ira pas boire le coca à 8,54€ à Gavarnie, tant pis !

Au début de l'étape je ne sais pas trop comment m'habiller, c'est hyper humide mais pas suffisant pour le poncho (quoique), je commencerai en ML mais passerai assez vite en court pour épargner le long de l'humidité au cas où. Mais je serai toujours un peu limite en court, il m'aurait fallu un intermédiaire pour ces conditions que j'aurais pu rencontrer plus souvent. L'ajout d'un coupe-vent me paraît pas mal pour les prochaines. Utile sur les sommets un peu frais/humides je pense aussi, comme ce que j'ai au à La Pierre St Martin.
En tout cas on n'est pas refroidi pour autant et on oublie pas de prendre le mauvais chemin au tout départ après le refuge !!! Bon cette fois les traces étaient entièrement cachées par une voiture.
Sur 10kms ce sera une alternance de petites montées (certaines sacrément raides ) et descentes, on ne gagne que 300+ au global pour arriver au Soum d'en Haut, inscrit sur Cicerone. D'ailleurs on n'y est pas passé je pense parce que le topo ne semble pas concorder avec la réalité, et la présence à une bifurcation de 3 gros panneaux groupés font penser à une déviation du trajet initial.
Sur ce versant en tout cas, la montée sera marquée par l'humidité. Dans l'air, et au sol avec une végétation très fournie imbibée d'eau qui empiète généreusement sur le sentier, et donc sur l'homme et ses centrales nucléaires de jambes : splotch splotch dans les chaussures.

Justement quand on bascule de l'autre côté l'humidité s'est évaporée en grande partie, et on entame une descente de 1000- qui nous mènera jusqu'à Pragnères.
Celle-ci est fatigante en raison de la pente plutôt raide et détrempée, et la présence de nombreuses racines.
On passera le très dense gave de Cestrède avant de rallier Pragnères et sa somptueuse station hydroélectrique qui rendrait jaloux plus d'un chinois en vacances.
Je profiterai ici d'un petit bout de soleil pour manger un petit bout (pas du soleil). Je déplore la perte de mon fidèle Victorinox. Je me sens comme Rahan sans sa chevelure de paille (pour passer un hiver sans maladies, 1 générique de Rahan par jour : plus efficace que la vitamine D sur la robustesse), perdu dans les méandres d'une existence impitoyable. Je le retrouverai en fait le soir au camping, et je me vengerai en dépeçant tout ce que je peux, comme Rahan l'aurait fait. Je m'arrêterai aux voisins quand même

S'en suit quelques très chiants kilomètres sur le bitume jusqu'à Sia. Je suis un peu claqué par cette transition qui opère sur le corps et la tête. Dans celle-ci s'est aussi formée l'idée que c'est peut-être mon dernier jour de marche, ce qui doit bien aider à trainer un peu.
Je me fais aussi la réflexion que depuis le début d'hypo' quelques jours avant, j'ai donc cramé tout le stock de glycogène, et je suis à flux tendu via du sucre à haut IG, j'ai l'intuition que ça peut jouer dans l'effet fatigue aussi à force de faire le yoyo sur l'insuline (ça m'intéresse si certains ont des réflexions et pistes à ce sujet).
En parlant d'IG élevé, à Sia a l'air de se trouver le meilleur artisan de gâteaux à la broche du far ouest : je dois croiser 5 ou 6 panneaux en très peu de temps de la présence de ces gâteaux dans les parages. Dont le dernier juste au moment où le GR quitte la direction du fabricant : à Sia on perd pas le Nord.

En quittant Sia se propose à moi la peut-être dernière petite montée de mon GR10, qui va à la Croix de Sia. Un moins de 200+ qui m'a paru être un 1400+ dans d'autres conditions : plus trop de piles. Je prendrai le prétexte de la présence d'un écureuil dans les arbres pour faire une petite pause et m'imaginer communiquer télépathiquement avec lui.
Dans la descente de la Croix je m'appliquerai à jeter mes "dernières forces" dans la concentration pour ne pas tomber : pari tenu, j'arrive entier à Luz Saint Sauveur. Pour l'anecdote dont vous vous foutrez assurément, c'est là où j'ai fait mes classes de neige. C'est là aussi où j'ai campé un mois en été vers les 13ans. J'ai reconnu le camping qui longeait le GR10 . Si vous être plus curieux, je peux vous communiquer les notes que j'ai eu lors du passage de mes étoiles en ski ainsi que TOUS les noms et prénoms de mes copains/copines à cette époque : envoyez moi un MP.
Pour revenir sur du plus sérieux, je m'empresse d'aller manger un hot-dog des plus quelconques au centre de Luz. Pas grand chose d'intéressant d'ouvert vers 16h un dimanche.

Entre 2 campings je choisis celui des Cascades qui sera très sympa, dont la gérante.
Je lui laisserai l'occasion de me faire changer d'avis sur mon arrêt à ce stade du GR10, en lui demandant si ça vaut le coup de continuer après (tout en ayant des facilités de transport comme ici) : elle me dira que non selon elle. Je pouvais marcher 2 jours disons encore, mercredi matin il fallait que je sois sur la route du retour pour me rendre à Bordeaux.
J'éteins donc les lumières définitivement à Luz Saint Sauveur !
Le soir je mangerai une très bonne garbure à l'auberge des Cascades attenante au camping. Garbure avec sa portion de frites ! Quelle harmonie.

Je resterai les 2 jours suivants tente plantée au camping histoire de larver/se remplir le ventre (ya pas d'autres termes )
Je descendrai un poulet sur un repas, qui a suivi de très près un autre repas orgiaque.
Je discuterai avec 2 voyageurs en vélo (sacoches/remorque) qui me rappellent que ça doit être cool de sillonner les paysages en vélo en mode bivouac. Le vélo me semble être le meilleur compromis plaisir des sens/distances parcourables. Enfin c'est autre chose quoi !
J'attendrai le bus du mercredi matin en buvant une bière pour anticiper sur le spleen du randonneur qui revient à la civilisation. Toujours cette sensation que votre corps va d'un coup beaucoup trop vite par rapport à votre âme toujours perchée sur les crêtes. Un décalage toujours immanquable !
Le bus me mènera à Lourdes, que je visiterai passablement, et d'où je prendrai un train pour Bordeaux ... LA FOULE !!!

C'était que du bonheur, je retenterai bien une traversée complète du GR10 dès que l'occasion peut se présenter un été, avant de laisser passer quelques autres aventures pour varier les plaisirs, et refaire ensuite la HRP, parce que ça brille quand même plus sur le papier !
La Pyrénée ? Ça vous gagne !

Dernière modification par Palteza (06-10-2020 20:15:25)

Magne2 · 06-10-2020 19:50:54

Merci pour le ton général de ce récit.
les Pyrénées ont y revient

Nayana · 06-10-2020 20:32:58

Meuh non, c'est fini. Je vais lire quoi moi maintenant en rentrant du boulot

Joy Supertramp · 06-10-2020 20:36:51

Rho ben non c'est fini, qu'est ce que je vais lire moi maintenant ?
Merci pour la bonne humeur

Par rapport au sucre, je n'ai pas de données techniques mais je pense qu'effectivement c'est assez risqué d'en manger beaucoup, même (et surtout ?) en rando ! De mon expérience : une barre ou un biscuit au milieu d'une montée de +1000 où on manque un peu de jus : oui. Du sucre matin midi soir goûter collations soupers : non. J'ai eu tendance à en avoir beaucoup envie et à en manger pas mal l'année dernière sur un périple de 6 semaines, mais je me suis rapidement rendue compte du côté addictif du truc et j'ai attaqué le sevrage avant la fin de la rando, quand l'effort était devenu moins intense (avec l'habitude). Malgré ça, j'ai eu beauuuuucoup de mal a arrêter d'en manger toutes les heures au retour et d'ailleurs je ne suis toujours pas redescendue complètement à mon niveau d'avant.
Je trouve que, quand on est arrivé à bout de ses réserves alimentaires et qu'on fonctionne a flux tendu, c'est effectivement le pire truc à faire que de se booster uniquement au sucre : tout va bien pendant une heure et puis il en faut encore, sinon gros coup de mou. Les réserves sont vides et le corps se jette sur le sucre encore plus que d'habitude !

Rien de scientifique là dedans, c'est mon ressenti personnel que je développe.
D'ailleurs je crois qu'il existe un certain nombre d'études qui ont prouvé que la dépendance au sucre était plus forte que celles à certaines drogues dures.

Palteza · 06-10-2020 21:11:05

@Joy
Ça m'étonne pas pour l'addiction au sucre plus puissante, je mettrais un billet aussi dessus.

Surtout je me demandais si il y avait pas une réflexion à mener sur la différence d'impact entre IG haut/bas (sucre rapide/lent "vulgairement"), et donc sur la composition des rations au quotidien, avec ce ratio IG haut/bas.
Parce qu'en effet j'ai mangé très peu d'IG bas.
Cela dit, quand je vois les repas des randonneurs, je vois rarement d'IG bas non plus (pain et riz/pâtes rapides sont très hauts, la semoule moyenne, seuls les oléagineux sont très bas, faudrait vraiment s'en gaver ?).
Après on peut mener toutes les réflexions qu'on veut sur papier, c'est ce qui est proposé aux ravitau' qui décide et on n'a pas toujours le choix ! Et encore, j'étais sur le GR10

edit : je viens de voir que le fructose, qu'on peut trouver en poudre, est bizarrement un sucre simple mais à IG très bas. Par contre au delà d'une dose qui semble assez petite, il peut provoquer des problèmes de digestion (les fameuses diarrhées après beaucoup de jus de pomme/raisin)

Dernière modification par Palteza (06-10-2020 21:16:16)

Lou_is34 · 06-10-2020 21:50:19

Arf c’est fini...

Merci beaucoup pour ce retour avec beaucoup de bonne humeur.

Il y a beaucoup de beaucoup dans ma phrase mais c’est à la hauteur du plaisir que j’ai eu à te lire.

Ps: j’ai ri comme un con devant mon tel avec ton récit. Merci !

laxmimittal · 06-10-2020 22:26:12

Ah ben c'est comme le sucre ton récit : addictif.

A présent c'est nous qui avons le blues du randonneur.

vivement la HRP

PS : tu as plein d'expériences super précises sur les fils d'Hervé 27 à propos de cette histoire IG bas/IG haut. j'ai pas tout compris mais ça avait l'air assez poussé.

Bravo pur ton périple et à bientôt sur les chemins pour une nouvelle tranche de rigolade sur RL.

L.

Magne2 · 06-10-2020 22:39:29

quelques liens

de l'utilisation des lipides le Sucre et le minimalisme

Magne2 · 07-10-2020 08:37:32

Et un post àncien.

https://www.randonner-leger.org/forum/v … p?id=25048

Le forum de la randonnée légère ou ultra-légère !

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#76 03-10-2020 08:40:21

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#77 05-10-2020 08:40:12

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

Jour 17 - Cauterets ? Refuge Hole (Gavarnie) - Beau - Tente au refuge - 11h - 36kms - 2200+ 1500-

#78 06-10-2020 19:44:10

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

Jour 18 - Refuge Hole → Luz St Sauveur - Brumeux AM, beau PM - Camping - 8h - 26kms - 700+ 1500-

#79 06-10-2020 19:50:54

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#80 06-10-2020 20:32:58

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#81 06-10-2020 20:36:51

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#82 06-10-2020 21:11:05

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#83 06-10-2020 21:50:19

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#84 06-10-2020 22:26:12

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#85 06-10-2020 22:39:29

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

#86 07-10-2020 08:37:32

Re : [Récit + liste] GR10 18j fin août2020, Hendaye-LuzStSauveur, débutant

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